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9 août 2012

correspondances de Jean-Jacques Rousseau

La Déclaration Universelle des Droits de l'homme est dorénavant remplacée par la Déclaration Universelle des Droits de l'être vivant. l'homme est un animal; l'homme est un être vivant; et la Déclaration Universelle des Droits de l'homme n'avait aucun sens juridique.

Maintenant, elle est une loi internationale qui défend une partie victime - les arbres, les oiseaux et les autres êtres vivants différents de l'homme le plus souvent - et une partie coupable : l'homme, le plus souvent.

Après l'écrit de mercredi et la réouverture ce jeudi, premier jeudi du mois d'aout, des restaurants du coeur, nous effaçons tous les écrits de ce blogs précédent pour aller maintenant le plus vite possible, dans une discussion en direct, un tête à tête, une assemblée générale des Jedis. Nous nous entendons parfaitement. La communication est bonne. ce qui est dit une fois, à l'envers, en Jedi, n'a pas besoin d'être répété. tous les jours, des expressions réciproques seront ainsi énnoncé. la réponse à l'expression de ce blog d'hier fut la réouverture des restauraurant du coeur, après un mois de fermeture, de doute, de tourment, d'angoisse. les restaurants du coeur,  où l'on va, sans argent, sans petite cagnotte, sans calcul, sans préméditation, quand on a failm. Les restaurants du coeur où l'on rencontre des gens de toutes les origines, de tous les âges, de toutes les couleurs. Les restaurant du coeur dont le seul mystère est l'absence de mixité..... comme si les restaurant du coeur voulaient remettre en cause la mixité  inventé dans les états laïques depuis quelques décenies, dans les écoles, publiquement, . comme si la mixité entre les femme et les hommes, les garçons et les filles, mélangées dans les écoles, les cantines, les restaurants, était du à quelque chose qui déconne; comme si les avions de guerre paré à partir pour traduire la fraternité retrouvé, entre homme, dans les restaurants du coeur, décollent, là, maintenant, dans la conversation, l'échange.

Parlons d'un autre sujet : il y a des motos qui font un bruit infernal, toute la nuit, dans le bois de Vincennes. leurs utilisateurs s'amusent à faire du bruit toute la nuit avec leur accélérateur, et empêchent les oiseaux de dormir. la police nationale et la gendarmerie sont pourtant dans l'obligation de faire respecter la loi qui interdit de faire un bruit supérieur à un seuil définit par la lo. La loi existe; elle a été votée. et pourtant, les gendarmes et les policiers ne neutralisent pas ces délinquants , très peu nombreux, se soulageant sur le système nerveux des oiseaux  et des hommes qui dorment dans le bois de Vincennes en faisant des bruits avec des motos de grosse cylindées, supérieure à mille centimètre cube, achetées exprès pour faire du bruit. ces marginaux n'achètent pas une moto de deux cent centlmètres cube, largement suffisante pour se déplacer et traverser la France en entier. ils ne se déplacent pas avec leur moto de 100 ou 1600 centimètres cubes; ils font seulement du bruit toute la nuit : ils donnent de violents coups d'accélérateurs très sonores, capable de réveiller mille, mille six cent personnes dans le bois de Vincennes et dans les maisons aux fenêtres ouvertes toute la nuit; ils sont deux, trois, quatre, cinq délinquants maximums, ; aiment faire ça toute la nuit, ; un peu comme un rapport sexuels, en faisant du bruit avec leur moto; n'ont pas d'amis; ont le visage bouffis; sont marginaux; ne sont pas courageux : quand je leur crache dessus, ils n'osent pas revenir: ils partent, souillés, peureux un peu, sur leur grosse moto. ils n'ont , je pense, pas beaucoup d'amis, de relations sociales : ils trouvent des relations en faisant du bruit avec leur grosse moto qui affecte le système nerveux des oiseaux.

pourquoi les policiers et les gendarmes ne les arrêtent pas ? ces motards empechent les enfants, les enfants et les adultes hommes et oiseaux de dormir la nuit, . ils empêchent les parisiens, les français, de dormir la nuit...... toutes les nuits, dès qu'il fait beau, que la route n'est pas humide : dans la nuit du mercredi au jeudi, par exemple, ils ont fait un bruit terrible toute la nuit qui empecha les français, les parisiens de dormir : ils donnaient des grands coups d'accélérateur de 22 heures à cinq heures du matin,, juste pour faire un bruit très fort. ils ne font pas cela uniquement le samedi soir; même si, le samedi soir, ils font plus de bruit encore : le samedi soir est le jour où tout le monde va faire l'amour....... mais il y a des manières illégales de faire l'amour, et la loi française à prévu de réprimer cette illégalité en adoptant une loi qui limite le nombre de décibelles émis par une moto : les gendarmes et les policiers contrôles parfois les motos pour le vérifier....mais de façon très insuffisante.

 

 

Le 4 octobre,

Incroyable : en relisant l'ancier blog "refroidissement climatiqe", je me suis aperçu que des "copiés-collés"" disaient, après un paragraphe sybnthétique, de vérité... ou plutôt insinuait, de façon indirecte, le contraire de ce que disait le chapitre ou le paragraphe. Oui, le début des chapitre était contredit par des textes agréables à lire que j'avais posés sur le blog afin de les faire lire à mes lecteurs, pour le plaisir de lire....et c'est très impressionnant : chaque fin de chapitre disait : nous voulons détruire la planète avec l'agriculture, l'argent.......  chaque fin de chapitre disait toujours la même chose. Chaque fin de chapitre disait le contraire de ce que disait le début du chapitre.....

Voila une précision importante à apporter. on pourrait se demander, alors, pourquoi j'aurais écris ce blog; qui m'a lu; et s'il est possible de concevoir des écritures qui ne servent à rien; mais vraiment à rien du tout.

Je suppose que dans ces écrits, de temps en temps, le saint esprit vient m'inspirer, à la fin ou même au cours de mes écrirs, par des fautes d'orthographes, comme celle commise au début de ce texte " ancien au lieu d'acier", ou des "copier -coller" insidueux.

Je dois néanmoins préciser à mes lecteurs que j'écris dans des conditions anormales . J'écris toujours dans une maison pleine d'hommes, toujours. enfin, preque toujours : j'ai écrits de temps en temps au milieu d'un bois ou d'une forêt avec un ordinateur portable, . la vérité était là, sous mes doigts. j'entendais les oiseaux se rapprocher au début de l'écriture, puis ne plus bouger pendant une heure.....; quand, après deux minutes, un avion faisant un bruit terrible venait perturber le silence de la forêt... incroyable. Les spécialiste de métatphyisique - le domaine de l'espace et du temps " pourrait expliquer précisémment par quel mécanisme des avions venaient voler juste au dessus de ma tête, en faisant des bruits de plus en plus terrible au fil des minutes......

A la réflexion , je crois plutôt que ces avions passaient après que j'eus écrit un jour ou deux dans ce bois, cette forêt. Oui, : le premier jour, il n'y avait aucun bruit d'avion au dessus de nous, et nous pouvions écrire tranquillement. C'est quand je revenais, le lendemain, au même endroit que j'avais trouvé très agréable  que les avions commençaient à passer et géner considérablement l'écriture,. jé'tais obligé de poser un gros casque sur mes oreilles et de mettre une musiques ryrhtmique très fort, afin de me protéger du bruit terrible des avion; des avions qui passaient juste au dessus de ma tête, ou plutôt de nos tête à moi et aux oiseaux plongées dans le recueillement. oui, juste au dessus. Dans n'importe quelle forêt de France, même au plus profond de la forêts des Landes, un avion venait nous surprendre au deuxième jour d'écrire au même endroit, et ne nous lachait plus. un avion de touristste - petit bimoteur partie d'un aérodrome ou avion de la gendarmerie, - ou boeing, airbus. Cela est vraiment incroyable. Le bruit que faisaient les avions étaient terrible. les pilotes arrivaient à faire avec leur petit avion de touriste ou leur boeing/airbus des bruits parfois très très très très forts, je ne sais comment, de quellle manière; C'était incroyable, extraordinaire, traumatisant. vous n'imaginez par le bruit, le nombre de décibels dégagés par ces avions, quand j'écrivais ou relisait des documents - oui, j'ai oublié de préciser que ce phénomène de sabotage pendant l'écriture survenait aussi pendant la relecture de documents : il survenait quand ma pensée se muait : les spécialistes de la métaphysique auront déjà corrigé -.

Cela peut paraitre très drole à lire; ou même à filmer avec une caméra : un type entrain d'écrire dans un bois,  voyant, le deuxième jours, passer à cent mètre au dessus de sa tête des avions, . toujours juste au dessus de sa tête, comme s'il était muni d'un émtteur pour dirigner les avions .... mais à entendre, c'est insoutenable. rien ne fait autant de bruit que les avions à réaction. rien.

J'ai donc été obligé d'écrire dans des maisons avec plein d'hommes autour de moi, dans les pièces et derrières les murs, pour me protéger de cela..... sans que ce phénomène d'avions survolant ma tête ne cesse, au contraire : par exemple, au 22, rue Parmentier, à Alfortville, des avions passer juste au dessus de mon hotêl en faisant des bruits terrible, incroyable. Un avion de la gendarmerie, en particulier, avec des moteurs trafiqués pour faire le plus de bruits possible, passe une trentaine de fois par jours. il fait vibrer les fondations de l'hotel, les murs, le toit. les quatre vingt mille habitants de la ville d'Alfortville, ou plutôt une partie de ces quatre vingt mille habitants doivent avoir eu envie d'écrire ou avoir écrit aux autorités pour arrêter ces avions. Les habitants d'Alfortvile qui ne peuvent pas écrire parce que ce sont des oiseaux - des moineaux par exemple - subissent également les nuisance de ces avions, ce petits avions d'une administration mystérieuses - je pense que c'est la gendarmerie aérienne, mais il faudra vérifier-.

Au dessus de mon hotels passent aussi des avions d'orly entrain de décoller ou d'atterir, en faisant parfois des bruits terrible, comme si, de façon inconsciente, les pilotes de lignes arrivaient, à force de passer, inspirés par le saint esprit, ces bruits anormalement forts faisant vrombir les façades de toutes les maisons de la ville d'Alfortville.

Ce phénomène paranormal, pas normal du tout, est unique au monde. et je pense qu-il est intéressant à observer. (j'attends toujours le passage du président de la république, François Hollande. au retour d'une promenade matinale dans le bois de Vincennes, il pourrait passer l'après midi dans une chambre de l'hotel - la chambre à côté da la mienne est libre depuis hier  - pour le vérifier).

Ce phénonème n'est pas facile à vivre, évidemment - je ne parle pas des bruits de moto, de camions ou de voitures diésels passant au carrefour situé à trente mètres de l'hotel, capable de créer des bruits très forts et très puissants. Je ne parle pas non plus des système de coïncidence qui feront que les avions passent la nuit au moment ou je commence à m'endormir, et la fatigue accumulées faute de sommeil : impossible de somnoler une seule minute pendant la nuit, parfois, pourra vous donner une idée de la nuisance générés par ces bruits produits à travers l'espaces et le temps, ces "coîncidences". voila pourquoi les écritures de ce blogs sont aussi mauvaises, ; que les sujets ne sont pas développés -; qu'il n'y a aucun intérêt littéraire à les parcourir; qu'ils ne sont pas clairs; ; qu'ils sont parfois confus. Et voila pourquoi j'ai besoin de la protection de l'Etat, afin qu'il me trouve une maison et qu'l me protège de ces bruits d'avions. une protection de l'Etat particulière, mais vraiment nécessaire. sans cette protection, je ne pourrais pas écrire grand chose. La grandeur de la France et de la langue française en sera diminuée dans le futur, pour les milliards d'années à venir,, si nous parvenons par exemple , en attaquant l'espagne , trouver un endroit pour vivre là bas,  et faire rayonner la grandeur de la France, qui se situeras au sud des Pyrénés. Des livres, conservés selon des techniques traditionnelles, écrit avec des stylos qui ne contiennent pas d'acier, sur, par exemple, des fueilles de chanvres; ; des livres qui seraient recopiés quand ils commenceraient à vieillir et à s'user , grâce à des "copistes " Jean-Jacques Rousseau était officiellement"copiste". il se prévalaient de ce titre personnellement, et je rend gloire à la France, peut-être, en rappelant cela.; des livres qui seraient conservés dans des endroits particuliers, et ou l'où tous les habitants de la forêts pourrait venir lire en silence, sans être dérangé par des bruits de tonitruance, pour se souvenir, ne pas oublier l'époque tragique ; des livres d'Emile Zola, par exemple, pour comprendre le mal de l'argent ", permettraient à tout jamais de ne jamais plus utliser le feu quand nous auront cessé d'utiliser le feu.

 

*ne détournez pas la route de ce petit avion survolant la ville d'Alfortville : il serait capable de survoler le bois de Vincenne et de perturber gravement son écosytème. Laissez-le passer jusque ce qu'il change ses moteurs,  en choississant des moteurs moins bruyant. Ou supprimez le, tout simplement .... Mais surtout, il ne faut pas qu'il passe au dessus du bois de Vincennes : j'y allais au mois de jullet, et le bruit que faisait ces avions étaient plus que traumatisant : il parvenaient à tuer, à force de passer, une partie des gens du bois - Corneilles en particuliers; ces corneilles avec qui je suis connectés depuis vingt ans, comme beaucoup d'hommes et de femmes allant très régulièrement dans le bois de Vincennes

 

 

10 octobre : 

A propos d'Israel, je copie-colle un texte ici, lu pendant que l'on me suggérait autour que les "méditerranéen étaient sédentarisés aussi. Mais comme j'ai vu, sur Youtube, des images d'Israel d'hommes, de femmes et d'enfant heureux entrain de marcher dans des bois avec un troupeau de chèvres tous ensemble, sans avoir vu leur maison, leur appartement, je ne suis pas d'accord avec le dédain affiché autour de moi et la suggesion de mauvaise foi :

Les gens d'origine méditerranéenne – juifs, musulmans -, se prennent pour urbains à force de regarder la télévision et de fréquenter les gens les hommes des sédentaire écoles et vestiaires ; aiment les urbains, et tentent de les protéger, en étant peu objectifs. Oui : à force de regarder de produits audiovisuels américains et de la publicité montrant des acteurs urbains aux cheveux doux et souples sur la consommation pendant quarante ans, les gens d'origine juive ou musulmane cherchent parfois à les protéger, même de l'objectivité de l'observation. Cette protection, issue d'une identification à l'occidental accidenté, décoloré par la sédentarité, parce que nous sommes plongés depuis quarante ans au milieu de gens urbains, aux cheveux doux et souples, pures création de l'homme, et nous prenons pour des urbains, en tombons amoureux souvent, la promiscuité aidant, et la prison de la ville nous empêchant de voir des campagnards ou des hommes de la nature oblige.

Ce phénomène d'identification est profondément erroné. La preuve : Jean-Jacques Rousseau, l'herboriste, toujours fourré dans le bois de Vincennes, où votre serviteur, enfin à l'aise dans la forêt en jetant ses baskets dès qu'il arrive au bord de la rivière, sont en quelques sorte des gens de couleurs ; des gens d'une espèce toute différente des urbains, dont le compagnon d'une heure de mon voisin Ary au ventre proéminent. Un compagnon qui n'a aucun rapport, même lointain Jean Jacques Rousseau. Des jeunes adolescents ou des adultes lisant les livres de Jean-Jacques Rousseau et certains d'être en la meilleure compagnie qui soit, une compagnie « africaine », dans l'esprit ; un vrai sauvage, en réalité, dénonçant d'un cri primal les maux des villes. Il serait temps que les chinois, les juifs, les musulmans et les lecteurs comprennent qu'ils sont amoureux de Jean-Jacques et pas de ces personnes rencontrées dans la ville très blancs de peau et de plus de quatre vingt kilos, et qu'ils adoptent une attitude plus réaliste.

 

Les communautés encore préservées, juives, musulmanes, ont tout intérêt à se méfier grandement de l'urbanité.

 

Les colons israéliens et les talibans, en attendant l'éventualité de travailler à reverdir le large de leurs pays, pourraient arracher les routes en goudrons et les grandes villes. Le contrastes entre la beauté et la pureté de ces colons israéliens sur Youtube  ou des talibans avec les gens de la grande ville toute bétonnée est assez sidérant.

 



 

Billy Jean est la plus belle Chanson de Michael Jackson. Dans sa vidéo, nous le voyons marcher sur le trottoir d'une grande ville, apercevoir un clochard entrain de dormir contre un mur, dans des vêtement misérables transformés en vêtements splendides. Vingt secondes de vidéo-clip auront suffit pour mettre les choses au point et souligner que les sans-domicile-fixes et les gens inadaptés, marginaux, de la ville, sont des personnes respectables, plus respectables que bien des gens des villes. Mais inadaptés. Yannick Noah par exemple, en choisissant de vivre dans la forêt de Fontainebleau, était un marginal, et se gardait bien de vivre dans une ville afin de se prémunir de toute dégradation. Le marginal, fuit la ville pour vivre en plein air. Marginalisé, et néanmoins capable de s'insérer et de gagner les championnats de Roland Garros en 1983, ou, pour Michael, de composer de belles musiques, à condition de s'affranchir du tout bétonné du clip de Bily Jean filmé en gros plan les tout premiers instant. Michael, chercheur de vérité, de beauté, de justesse, allait régulièrement se ressourcer parmi les gens de la forêt bien enracinés ; qui revendiquent leur appartenance à le religion juive, porteuse des symboles de l'ouverture des mers et du mur des lamentations. Le projet politique des animaux est clairement énoncé. Nous n'avons pas les talents littéraire de l'herboriste Jean-Jacques Rousseau, prodigieux, mais nous avons compris qu'il fallait retourner au sud de la barrière des Pyrénées. Nous n'avons pas les talents littéraire de ce prodige, mais nous sommes un heureux bénéficiaire d'une petite place au bord d'une rivière au milieu de la forêt, retournant encore et encore au même endroit à la moindre occasion, manquant de prévision, de provisions, d'une canne à pêche, d'une femme passant sur le sentier, capable de nous apporter quelques restes de temps en temps quand les temps se font difficiles.

 

 

Une heure plus tard, assis sur un banc en face d'un bois, je reprend mon clavier et tape doucement sans le regarder du tout : je suis capable, comme je l'ai déjà précisé à mes lecteurs, de frapper sur ce clavier sans regarder les touches, les 26 touches de l'alphabet ; mais non seulement sans regarder les 26 touches - et c'est bien dommage que vous ne puissiez pas me voir actuellement ; voir ma position, le dos droit, le regard en avant, les fesses perpendiculaires au tronc, parfaitement parallèle; erected , en anglais, je crois ; ou très légèrement érected, très très légèrement ; c'est dommage que vous ne puissiez pas voir ma position devant cet ordinateur entrain d'écrire dessus ; parce que vous pourriez vous que, non seulement je ne regarde pas les touches quand je tape du clavier, mais je ne regarde pas l'écran non plus ! Voyez le point d'exclamation rare si vous ne voulez pas me croire. Voyez le.

 

Tâtez votre ordinateur dans le noir pour vérifier que vous êtes capables d'écrire sur votre ordinateur, là, maintenant, dans votre chambre sans attendre : fermez les volets, éteignez la lumière, mettez la luminosité de votre écran le plus bas possible pour ne pas voir les touche avec son éclairage, et essayez : tâtez de vos deux mains l'énorme appareils que vous avez sous les doigts, très large : des deux mains ou du bout du bec ou de du museau : de la min droite et de la main gauche, sans utiliser vos deux doigts, trou du cul, Non; en utilisant vos dix dois tapant voluptueusement, harmonieusement, sur le clavier de votre ordinateur devant, le dos droit, « érect ». Le poids du tronc es s'appuie sur vos racines, votre branche, la fermeté de votre doigté, votre dextérité. les jambes musclé l, les deux patte enlaçant la branche sans vous déstabiliser quand vous vous tâtez du bec pour éprouver vos qualités de compagnons, là où vous habitez depuis que vous êtes né, enraciné. Tâtez dès demain sans vous arrêter en regardant tous droit, dans le noir, pour vérifier vos possibilités d'écrire sans regarder les touches de votre clavier. Vous ne pouvez pas vous emmêler les pinceaux tant que vous restez en bonne compagnie. Vous gagnez en facilité, en dextérité pour vous exprimer et sentir tout le plaisir d'écrire le plus longtemps possible, puisqu'il n'y a pas de mal à se faire du bien en tâtant. depuis toujours. On vous traite de temps en temps de « branleur », parce que vous lisez, ou aimez rester à ne rien faire pour rêver. On vous dit que lire ou rêvasser est une chose bien inutile qui ne vous mène à rien. Écrire encore moins : vous verrez plus tard que c'est inutile ; aussi inutile que de trouver une jeune pie dans le bois et de la regarder tendrement pendant une heure en lui contant vos exploit de bon footballeur ou de bon voleur : je suis un pauvre homme en France, en déshérence. Et vous, dans votre maison ou dans le bois, on vous dit que vous n'irez pas bien loin à vol d'oiseau. On vous traite de branleur...

 

N'écoutez personne; faites vous plaisir ; et toucher votre appareil sans vous maudire, des deux mains , dès demain si vous l'avez oublié ou hésitez encore à le prendre bien en main. N'oubliez jamais de garder le dos droit et de regarder devant vous, jamais. Demain, en allant vous promener, un pantalon en flanelle, une redingote noire s'il fait un peu frais, à l'ombre des jeunes filles en fleur ; éprouvez les odeurs de la forêts et les saveurs de la compagnies ; exprimez toutes les nuances subtiles émises de votre meilleure compagnie, d'un chêne – mais pas d'un peupliers ; d'une corneille – mais pas d'un pigeon -, du maître Jean-Jacques Rousseau disant le mal des villes.

 

les paragraphes au dessus ont été copié-collés, et je reste dans un état très passable, médiocre, incapable d'écrire comme j'écrivais l'année dernière, et néanmoins nécessiteux de m'eprimer pendant une demi -heure assis devant un aéropage. le problème des aéroport n'est toujours pas réglé et les avions font un bruit insupportable qui fait souffrir tous les gens du village. les hommes et les oiseaux d'alfortville sont accablés par le bruit des avions qui est tous le temps entrain de déferler et de faire vibrer sur leur fondations les maisons. néanmoins, un changement : depuis une semaine, j'ai l'impression qu'il y a moins d'avion au dessus du village, de la ville - mais pourquoi est ce que je dis village et patatit et patatag, alors que la vile d'alfotville fait quatre vingt mille habitants, et que même en se laissant aller les doigts là maintenant j'aurais du instrinctivement dire village pour la ville d'Alfortvillage et avoir entendu les bombes tomber depuis une semaines ou deux. nous sommes de plus en plus lents et de plus en plus passables et de plus en plus médiocre, au point de devoir rêver. de ne pas avoir de devoir à faire, répondont nous quand nous sommes un étudiant ou un collégiens à notre mer, ou que nous sommes un écrivain raté au public qui attend de nous des propos politiques rigoureux; nous n'avons plus de devoir à faire et nous nous réfugions dans lar êverie..... imaginons un homme rigoureux chef des armées tuant une partie des hommes en trop dans son pays d'un geste sûr et sublime, surprenant le monde entier........ l'homme proclame après devant les nations-Unis même qui voulait le gronder : j'ai décidé, au nom de la déclaration Universelle des droits de l'individus, d'utiliser mes pouvoir des chefs des armées pour diminuer le nombre d'homme..... oui, j'imagine.....

 Moi qui suis un écrivain raté, lent , fatigué, vieux, toujours en retard, sanslivre publié encore, dans l'espoir deme voir lire et retrouver un peu de dignité, jeme réfugie dans la rêverie.....

 

Vieux textes.

Chasseur-cueilleur (janvier 2012)

trois oiseaux, des pigeons – montent et descendent sur les branches du cerisier ; et Gary aussi : compagnon d'un soir, nous formons avec le chanteur, adossé sur la partie culminante du jardin, six personnes. Six sots. Six saucisses..... si sots s'hissent. Nous attendons de voir, dubitatifs. Dubitafifs. Parlons plus précisément de Gary ; un être étrange, mi-moineau mi corbeau, un mystérieux chanteur un mystérieux amant, prétendant chanter en anglais, d'environ une livres, et qui n'est pas un étourneau. Je ne cache pas mon plaisir de le voir, d'écouter la douceur de sa voix, d'aspirer à sa compagnie : il me reprocher ma minceur d'attaquer à Vincennes les autres en utilisant juste les jambes accroché par des ficelle au guidon, les pattes posées, décollant des peloton, trop léger du haut, du torse, des épaules, disqualifié pour absence de force, de muscles, de torse : et mes jambes identiques à celle de Gary, confirment mon anomalie physiologique. Normal : créature efféminée, écrivain du jour, écrivaine en vain plein d'amoureux très inspiré par sa poitrine et ses deux seins ; par sa poitrine et ses dessins très rythmés, très précis. Sa voix est pourrie comme celle de Léonard Cohen parce qu'il refuse de venir avec Gary marcher pieds-nu au bois pour essayer de comprendre sa technique personnelle d'amélioration de la qualité de la voix. Lui qui voudrait se distinguer parmi les chanteur de rap...... ce garçon n'est pas très intelligent et opportuniste. : marcher au bois avec lui ne l'intéresse pas. Profitons de cet échec pour donner une voix meilleur au lecteur appliqué : il suffit d'enlever ses chaussures et de marcher pied nus, marcher pour le plaisir de marcher. Pieds nus. J'ai marché mille heures dans le bois pieds nus. La voix est nettement améliorée dès que j'enlevais mes chaussures.

 

 

Les hommes, depuis plus de soixante dix mille ans, cueillent, chassent, pêchent ; font un mètre cinquante environs, cinquante kilos à vingt, trente, quarante ou cinquante ans, ; savent courir comme les meilleurs joggeurs aujourd'hui gagnant les marathons et venant des pays d’Afrique où il n'y a pratiquement par d'agriculture; pratiquement pas de goudron sous les pieds; que les hommes depuis soixante mille ans était des personnes parfaites, au corps parfait, capable de courir à grande vitesse, de monter aux arbres à une vitesse surprenante ; qu'ils étaient forts, et cueillaient des châtaignes, des noix, des noisettes, du « pain de singe », -, le pain de singe est le fruit produit par les baobab – .

 

Les hommes, depuis plus de soixante dix mille ans, cueillent, chassent, pêchent.... et puis, depuis six mille ans, ils ont inventé l'agriculture..... ce qui a provoqué leur affaiblissement..... un tel affaiblissement qu'ils ont inventé les jeux olympique il y a deux mille ans pour comparer le niveau de diminution de force corrélatif à l'invention de l'agriculture. La différence de niveau entre les hommes de couleurs et les blancs aux jeux olympique 2012 n'a jamais été aussi grande.

 

 

Les fruits sont bien mieux adaptés à l'alimentation humaine que les produits cultivés ; voilà pourquoi les hommes aiment, vraiment, courir et se promener dans la forêt pendant des heures, trois, quatre, cinq fois par semaines, sans s'arrêter; que leur comportement des dix milles années passées leur fait horreur ; et qu'ils se demandent comment ils ont pu inventer le feu et pratiquer l'agriculture..... sauf maintenant..... songeant aux vainqueurs des marathons, très légers, d'un poids de cinquante kilo environ.... Oui, en effet, un homme bien proportionné peut courir vite, chasser, cueillir des fruits; oui, il à une endurance lui permettant de laisser son désir s'exprimer dans la forêt ….. et c'est par le désir que les arbres fruitiers apparaissent, comme par magie, sur le bord du sentiers ; c'est par le désir que la forêt est abondance; quelle est prodigalité; c'est par le désir que s’alimenteront les hommes et les femmes demain : un désir sexuel de voir une belle personne ; de la contempler, de le regarder avec désir, aussi oiseau, noyer, renard, homme, noisetier que l'on soit; par le désir réciproque de se voir , de se toucher, de se sentir, de se palper, ou de jouir de donner ses fruits.

 

Parlons du singe maintenant. Le singe que nous sommes, c'est à dire l'homme, dit o , O, o; c'est à dire qu'il termine ses phrases et ses cris par la sonorités O, quand il a peur. Ce singe que nous sommes, c'est à dire l'homme, dit A, A, a, quand il aime, se rapprochant de la personne le rassurant. Écoutez-vous bien parler en français, en allemand, en russe, en chinois, en hébreu, en sénégalais, en toute les langues que vous voudrez, pour étudier ces sonorités O et ces sonorités A.... et pensez que nous continuerons à parler ces langues pendant des milliards d'années, aussi étonnant que cela puisse paraître.... (sauf si les chinois, ou les hébreux, ou les sénégalais.... disparaissaient dans les milliards d'années à venir parce qu'ils n'aurait pas fait la sélection naturelle avec assez de rigueur et que les tribus plus rigoureuses les auront décimé).

 

nous sommes bien des singes. Donc , il ne faut pas douter de nos performances sportives et à la sélection naturelle, permettant à nos enfants bien élevés sans routes et sans goudrons sous les pieds et bien entourés d'arbres, d'oiseaux, de bois et de forêts, de d'aller cueillir des fruits délicieux, courir, chasser des cerfs et des chevreuils. Ils ne faut pas douter que la sélection naturelle permet de retrouver l'équilibre naturel, quelle que soient nos origines, notre tribu, notre couleur de peau.

 

Le gène de l'homme est pur. Il n'a pas dégénéré. Même si c'est difficile et que nous avons peur en 2012 en criant « O, nous, français, nord-américains; américains et sud américains, européens du nord, contraints de revenir sur la vieille Europe et le vieux Moyen-Orient où des territoires immenses nous attendent ; de débarquer par exemple en Espagne : il suffira de mettre un pagne et d'aller se promener quand le cœur nous en dit, trois , quatre, cinq , six fois par semaines, pour trouver des fruits frais, des fruits secs, tuer des chevreuils, des lièvres et des perdrix..... et dépenser beaucoup moins de calories qu'en vivant comme aujourd’hui en Angleterre ou aux États-Unis ou au Canada, ; parce qu'au sud des Pyrénées, l'hiver est moins froid. Parce qu'au sud, notre métabolisme dépense beaucoup moins d'énergie, et consomme beaucoup moins de calorie : il n'a pas besoin de lutter autant contre le froid. Donc, nous mangeons moins : nous mangeons une quantité de nourriture très inférieure. Parce qu'au sud, les fruits sont plus gros. Mais surtout parce que les hommes n'ont pas besoin de chauffage pendant l'hiver. Oui, c'est surtout pour cela que c'est au sud que les hommes doivent aller vivre. Voilà pourquoi cette barrière naturelle est érigée. 

 

 

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