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12 août 2012

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refroidissementclimatique

 

 

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Le 9 octobre.

Écriture pendant une trentaine de minutes pour écrire n'importe quoi afin de se délier les doigts.  et s’entraîner à devenir écrivain. Pour l'instant, je suis un pauvre type qui n'a jamais rien publié, essayant d'adopter une technique : elle consiste à poser un livre d'un homme publié et renommé pour ses livres à côté d'un clavier et d'un ordinateur, et de le lire pendant les repos, les pauses, dans dix minutes, dès que les doigts auront ralenti. Mais pour l'instant, ils fonctionnent correctement, obligés de faire quelque chose après l'échec de le lecture de la première lettre du livre posé à côté de l'ordinateur  - c'est un livres de lettres; une "correspondances épistolaires". les lettres du grands écrivains précèdent les lettres de ses correspondants, et la différence est notable. C'est impressionnant, au point que nous sommes parfois tenté de ne lire que les lettres du grands écrivain - Jean-Jacques Rousseau, pour ne pas le nommer -. Mais ce serait passer à côté  d'un esprit, chez les femmes en particulier, capable de l'égaler. Les lettres du grand écrivains sont passions,  et on devine la force de la passion identique chez ses correspondantes exceptionnelles.... pas toutes, loin s'en faute. Beaucoup de ses dames écrivent laborieusement, sans le moindre idéal et sans la moindre passion. Des hommes aussi lui envoient des propos banals, laconiques, impossible à lire pour le minable lecteur que je suis. Et c'est un signe : je n'ai pour l'instant pas la moindre dame, la moindre homme - c'est notable -, dans ma vie. Je n'ai encore jamais rien publié. L'écart entre le niveau immense de Jean-Jacques Rousseau  et le mien est faramineux. et les adjectifs ici sont, d'après quelques petits leçons, beaucoup trop nombreux.

Fixons nous des objectifs pour devenir un grand écrivain aimé du monde entier et sympathique; et pouvoir un de ces soirs emmener une dame au Bal ; plutôt au bal qu'au théâtre : dans sa lettre à d'Alembert, Jean-Jacques Rousseau explique que le Théâtre est un mœurs déplorable. Jean-Jacques exhibe, comme pendant, pour ne pas paraître trop méchant, le bal.... et dire que bal signifie boite aux lettre électronique de raté tout seul devant son ordinateur informatique...... oui, je suis un raté, un nul, un solitaire incapable de séduire une dulcinée. Je ne sais même pas danser. à force de rester seul dans son coin, on finit par accumuler les handicaps, et finir, à quarante ans, sans le moindre espoir d'améliorer sa situation. Cette passion qui me tient pour la littérature pendant mon adolescence ne m'a pas même permis d'écrire pour quelques bons amis un livre gai, joyeux, tonique, voluptueux... peut-être parce que je n'ai pas été menacé par la faim et le froid; que j'ai été trop gâté par l’État Français, offrant une pension mensuel, ce qu'on appelle le RSA; que je restait dix ans dans le même logement, protégé par une loi empêchant de renvoyer un locataires sérieux, ordinaire,..; et que depuis deux mois, je suis à l’hôtel, menacé d'être mis à la porte à n'importe quel moment. et mes économies, de moins de cent francs, ou plutôt de moins de vingt euros, ne me permettent pas de rentrer dans un autre hôtel : je n'ai pas l'argent suffisant pour payer la caution. Raté, nul, incapable, bon à rien, peut-être futur clochard qui sentira sentira pour la première fois dans sa trajectoire faute de pouvoir se laver, laver ses vêtements, je suis obligé d'écrire un livre et de le publier.... Encore heureux : j'ai, posé sur la table, un livre de bonne qualité; un ordinateur et de bonnes sensations, parfois. Encore heureux, même sous la contraire de faire de la "littérature alimentaire" comme beaucoup de gens sérieux figurants dans le dictionnaire des noms propres.

 

 

11 octobre : 

A propos d’Israël, je copie-colle un texte ici, lu pendant que l'on me suggérait autour que les "méditerranéen étaient sédentarisés aussi. Mais comme j'ai vu, sur Youtube, des images d’Israël d'hommes, de femmes et d'enfant heureux entrain de marcher dans des bois avec un troupeau de chèvres tous ensemble, je ne suis pas d'accord avec le dédain affiché autour de moi et la suggestion de mauvaise foi :

Les gens d'origine méditerranéenne – juifs, musulmans -, se prennent pour urbains à force de regarder la télévision et de fréquenter les sédentaires ; aiment les urbains, et tentent de les protéger, en étant peu objectifs. Oui : à force de regarder de produits audiovisuels américains et de la publicité montrant des acteurs urbains aux cheveux doux et souples sur la consommation pendant quarante ans, les gens d'origine juive ou musulmane cherchent parfois à les protéger, même de l'objectivité de l'observation. Cette protection, issue d'une identification à l'occidental accidenté par la sédentarité et l'obsession de l'argent, mais parlons ici pour une fois de la sédentarité ; parce que nous sommes plongés depuis quarante ans au milieu de gens urbains, aux cheveux doux et souples, et que nous nous prenons pour des urbains ; tombons amoureux souvent de ces hommes aux cheveux clairs et souples, la promiscuité aidant, et la prison de la ville nous empêchant de voir des sauvages ou des hommes de la nature.

Ce phénomène d'identification est profondément erroné. La preuve : Jean-Jacques Rousseau, l'herboriste, toujours fourré dans le bois de Vincennes, où votre serviteur, enfin à l'aise dans la forêt en jetant ses baskets dès qu'il arrive au bord de la rivière, sont en quelques sorte des sauvages ; des gens d'une espèce toute différente des urbains. Des jeunes adolescents ou des adultes lisant les livres de Jean-Jacques Rousseau et certains d'être en la meilleure compagnie qui soit, une compagnie « africaine » ; un vrai sauvage, en réalité, dénonçant d'un cri primal les maux des villes. Il serait temps que les chinois, les juifs, les musulmans et les lecteurs comprennent qu'ils sont amoureux de Jean-Jacques et pas de ces personnes rencontrées dans la ville très blancs de peau et de plus de quatre vingt kilos, et qu'ils adoptent une attitude plus réaliste.

 

Les communautés encore préservées, juives, musulmanes, ont tout intérêt à se méfier grandement de l'urbanité.

 

Les colons israéliens et les talibans, vont, dans le futur, voir reverdir leurs pays. Ils doivent dès maintenant arracher les routes et faire disparaître les grandes villes. : le contrastes entre la beauté et la pureté de ces colons israéliens sur Youtube  ou des talibans avec les gens de la grande ville toute bétonnée est assez sidérant pour les encourager à exécuter ces ordres .

 



 

Billy Jean est la plus belle Chanson de Michael Jackson. Dans sa vidéo, nous le voyons marcher sur le trottoir d'une grande ville, apercevoir un clochard entrain de dormir contre un mur, dans des vêtement misérables transformés en vêtements splendides. Vingt secondes de vidéo-clip auront suffit pour mettre les choses au point et souligner que les sans-domicile-fixes et les gens inadaptés, marginaux, de la ville, sont bien souvent en réalité des personnes respectables, plus respectables que bien des gens des villes. Yannick Noah par exemple, en choisissant de vivre dans la forêt de Fontainebleau, était un marginal, et se gardait bien de vivre dans une ville afin de se prémunir de toute dégradation. Le marginal fuit la ville pour vivre en plein air. Marginalisé, et néanmoins capable de s'insérer et de gagner les championnats de Roland Garros en 1983, ou, pour Michael, de composer de belles musiques, à condition de s'affranchir du tout bétonné du clip de Bily Jean filmé en gros plan les tout premiers instant. Michael, chercheur de vérité, allait régulièrement se ressourcer parmi les gens de la forêt bien enracinés, et qui, parce qu'il est bien enraciné, est le peuple élu. Oui, les arbres forment le peuple élu porteur des symbole de l'ouverture (baisse du niveau) des mers et du mur des lamentations. Le projet politique est clairement énoncé.





J'écris souvent sous les arbres. Les arbres du bois de Vincennes et moi n'avons pas les talents littéraires de Jean-Jacques Rousseau, mais nous avons compris qu'il fallait retourner au sud des Pyrénées.

 



(faites toujours attention, surtout à la suite de texte comme celui là, au sabotage de la vérité par des allusions et des poésie : la politique écrite dans ce blog est tellement désapprouvée par les hommes qu'ils ne cessent de saboter les textes dès la moindre occasion).



Une heure plus tard, assis sur un banc en face d'un bois, je reprend mon clavier et tape doucement sans le regarder du tout : je suis capable, comme je l'ai déjà précisé à mes lecteurs, de frapper sur ce clavier sans regarder les touches, les 26 touches de l'alphabet ; mais non seulement sans regarder les 26 touches - et c'est bien dommage que vous ne puissiez pas me voir actuellement ; voir ma position, le dos droit, le regard en avant, les fesses perpendiculaires au tronc, parfaitement parallèle; erected , en anglais, je crois ; ou très légèrement érected, très très légèrement ; c'est dommage que vous ne puissiez pas voir ma position devant cet ordinateur entrain d'écrire dessus ; parce que vous pourriez vous que, non seulement je ne regarde pas les touches quand je tape du clavier, mais je ne regarde pas l'écran non plus ! Voyez le point d'exclamation rare si vous ne voulez pas me croire. Voyez le.



Tâtez votre ordinateur dans le noir pour vérifier que vous êtes capables d'écrire sur votre ordinateur, là, maintenant, dans votre chambre sans attendre : fermez les volets, éteignez la lumière, mettez la luminosité de votre écran le plus bas possible pour ne pas voir les touche avec son éclairage, et essayez : tâtez de vos deux mains l'énorme appareils que vous avez sous les doigts, très large : des deux mains ou du bout du bec ou de du museau : de la min droite et de la main gauche, sans utiliser vos deux doigts, trou du cul, Non; en utilisant vos dix dois tapant voluptueusement, harmonieusement, sur le clavier de votre ordinateur devant, le dos droit, « érect ». Le poids du tronc es s'appuie sur vos racines, votre branche, la fermeté de votre doigté, votre dextérité. les jambes musclé l, les deux patte enlaçant la branche sans vous déstabiliser quand vous vous tâtez du bec pour éprouver vos qualités de compagnons, là où vous habitez depuis que vous êtes né, enraciné. Tâtez dès demain sans vous arrêter en regardant tous droit, dans le noir, pour vérifier vos possibilités d'écrire sans regarder les touches de votre clavier. Vous ne pouvez pas vous emmêler les pinceaux tant que vous restez en bonne compagnie. Vous gagnez en facilité, en dextérité pour vous exprimer et sentir tout le plaisir d'écrire le plus longtemps possible, puisqu'il n'y a pas de mal à se faire du bien en tâtant. depuis toujours. On vous traite de temps en temps de « branleur », parce que vous lisez, ou aimez rester à ne rien faire pour rêver. On vous dit que lire ou rêvasser est une chose bien inutile qui ne vous mène à rien. Écrire encore moins : vous verrez plus tard que c'est inutile ; aussi inutile que de trouver une jeune pie dans le bois et de la regarder tendrement pendant une heure en lui contant vos exploit de bon footballeur ou de bon voleur : je suis un pauvre homme en France, en déshérence. Et vous, dans votre maison ou dans le bois, on vous dit que vous n'irez pas bien loin à vol d'oiseau. On vous traite de branleur...



N'écoutez personne; faites vous plaisir ; et toucher votre appareil sans vous maudire, des deux mains , dès demain si vous l'avez oublié ou hésitez encore à le prendre bien en main. N'oubliez jamais de garder le dos droit et de regarder devant vous, jamais. Demain, en allant vous promener, un pantalon en flanelle, une redingote noire s'il fait un peu frais, à l'ombre des jeunes filles en fleur ; éprouvez les odeurs de la forêts et les saveurs de la compagnies ; exprimez toutes les nuances subtiles émises de votre meilleure compagnie, d'un chêne – mais pas d'un peupliers ; d'une corneille – mais pas d'un pigeon -, du maître Jean-Jacques Rousseau disant le mal des villes.



 

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